Smockey : « Nous n’avons pas besoin de sang ni de massacres au Burkina Faso »

https://youtu.be/AF-k4VCuxQk L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Dans cet élément, Smockey s’adresse à la jeunesse. Voici son message.

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Aboubacar Kina, grand imam de Fada : « Enseignons le bien et rejetons le mal »

https://youtu.be/-rmEeK6k1ZE L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Le grand imam, Aboubacar Kina, dans ce message, appelle la population à se démarquer du mal

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Examens 2019 et insécurité : comment font ces scolaires déplacés de l’Est du Burkina ?

https://youtu.be/YJ3KD3JFFII A Fada N Gourma ou la cité de Yendabri, chef-lieu de la province du Gourma, dans la région de l’Est du Burkina, le secteur de l’éducation comme tous les autres secteurs d’activités est touché par les multiples attaques terroristes que connait le pays depuis 2016. Le récent rapport du ministère de l’éducation du Burkina fait état de plus de 1.000 écoles et établissements post- primaire et secondaire fermés avec plus de 300.000 élèves affectés et environs 10.000 enseignants hors des classes en ce milieu d’année 2019. La ville de Fada a alors enregistré dans ces différents établissements publics et

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Maire de Fada : « Ayons une attitude de paix et cultivons le vivre-ensemble »

https://youtu.be/vokpzL475iM L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Dans ce message le maire de Fada, Jean-Claude Louani à cœur ouvert, exhorte la population à « cultiver le vivre-ensemble ».

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Burkina : 4 organisations œuvrent pour le vivre-ensemble à l’Est

https://youtu.be/nNRQPF7bj5Y C’est dans la ville de Fada N’Gourma qu’un consortium de 4 organisations de la société burkinabè (Association Semfilms, Association Monde Rural, Balai Citoyen et Institut Free Afrik) a choisi pour le lancement du projet « Jeunes Ambassadeurs ». C’est un projet qui vise à stimuler la cohésion sociale, la promotion du dialogue inter et intra-communautaire dans la région de l’Est avec la jeunesse comme vecteur principal d’action. Ces dernières années, la cohésion sociale a pris un coup dans la région de l’Est. Ce projet est donc initié pour permettre de résoudre un certain nombre de problèmes qui minent le vivre-ensemble et

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Gal. Dienderé : Le plus grand tort a été d’avoir fait ce putsch …

« Le plus grand tort a été d’avoir fait ce putsch. Aujourd’hui, quand on parle de démocratie, on ne peut pas se permettre de faire des actions de ce genre. Nous avons su que le peuple n’était pas favorable. C’est pour ça que nous avons tout simplement abandonné. Le putsch est terminé, on n’en parle plus. Je n’ai pas peur d’affronter la justice. Je prends toutes mes responsabilités, j’assume pleinement ma responsabilité, je répondrai aux questions qu’on me posera, je ne vais pas nier qu’il y a eu des morts. Il faut aller vers la recherche de la paix et

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An I du Putsch : Que de déception vis-à-vis des autorités dans la famille Yelnogo

Le 17 septembre 2015, Yelnogo Salfo est assassiné en plein centre-ville de Ouagadougou par des éléments de l’ex-Régiment de Sécurité Présidentielle (RSP). C’était lors du putsch du 16 septembre 2015. Il laisse derrière lui, une veuve et trois enfants. Une année après cette forfaiture, la famille Yelnogo s’en souvient comme si c’était hier. La veuve de Salfo Yelnogo et son frère El Hadj Aboubakar Yelnogo, devenu président de l’association des victimes du putsch, sont fatigués des discours populistes. Ils veulent des actions concrètes pour que la vérité et la justice triomphent dans cette affaire. Droit Libre TV a rendu visite

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