Effectifs pléthoriques : le mal qui ronge l’école publique burkinabè !
On ne le dira pas assez, l’école publique burkinabè est malade. Du primaire à l’université, les réalités sont les mêmes. L’une des entraves aux bonnes conditions d’étude dans ces établissements, reste l’épineuse question des effectifs pléthoriques. Les classes de plus de 100 élèves ne se comptent plus dans nos lycées et collèges. Bien qu’il existe une règlementation en la matière, les salles de classes sont trop pleines du fait de la forte demande et surtout de l’insuffisance d’infrastructures.
Pour s’en convaincre, Droit Libre TV a visité le lycée municipal de Signonghin au quartier Tampouy de Ouagadougou en compagnie d’élèves, d’enseignants et de parents d’élèves. Reportage !