Appel à films / Festival Ciné Droit Libre 2016

PAYS : Autres Pays
DATE DE PUBLICATION : samedi 14 mai 2016
CATEGORIE : Articles

Ciné Droit Libre est un festival régional qui se tient chaque année dans 4 pays de l’Afrique de l’Ouest, à savoir le Burkina Faso, le Sénégal, le Mali et la Côte d’Ivoire.

Il s’agit d’un festival populaire et non commercial qui a pour but de sensibiliser les populations sur des questions de droits humains, de bonne gouvernance et de démocratie.

Vous êtes réalisateur ou producteur d’un film et vous désirez le soumettre pour Ciné Droit Libre ? Les critères de sélection sont les suivants :

- tout genre de film est pris en considération (fiction, documentaire, grand reportage, etc.). Toutefois, le festival met l’accent sur le film documentaire 

- le film doit être récent 
 (2014 - 2016)
- le film doit exister en version française ou sous titré en français
- le film doit aborder un sujet lié aux droits humains ou à la liberté d’expression.

Pour inscrire un film, remplissez le formulaire ci-joint. L’adresse d’envoi est : Festival Ciné Droit Libre S/c association Semfilms 09 BP 1308, Ouagadougou 09/ Burkina Faso.

Ce formulaire peut être utilisé pour inscrire un film dans l’un des pays ou dans l’ensemble du réseau Ciné Droit Libre. Les inscriptions peuvent se faire durant toute l’année sans date limite d’inscription. Les films arrivés à moins de deux mois avant la tenue du festival seront considerés pour l’édition prochaine du festival. Seul l’édition qui se tient à Ouagadougou a une section films en compétition ( grand prix du festival, meilleure fiction sur les droits humains, meilleur documentaire du Burkina, prix du public…)

Inscription valable pour les différentes éditions de Ciné Droit Libre :

Sénégal (21-24 septembre 2016)

Côte d’Ivoire (8-12 novembre 2016)

Burkina Faso (10-17 décembre 2016) - compétition fiction et documentaire, prix du public

Mali (janvier 2017)

« Le rôle des intellectuels n’est pas de participer à la lutte pour le pouvoir. Encore moins de chercher à l’exercer. Leur rôle est, précisément, de se dessaisir autant que possible de tout pouvoir, de renoncer à l’exercice de tout magistère. Il n’est pas d’interpeller qui que ce soit. Il est de se faire, pour une fois, les maîtres de l’ascèse. »

Achille MBEMBE, historien et politologue camerounais in « Le lumpen-radicalisme et autres maladies de la tyrannie », publié dans le MONDE Afrique

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