ABJCA, pour la promotion de l’agriculture au Burkina

PAYS : Bénin
DATE DE PUBLICATION : samedi 25 avril 2015
CATEGORIE : Articles
THEME : Société
AUTEUR : Redaction

L’Association burkinabè des journalistes et communicateurs agricoles (ABJCA) a organisé un déjeuner de presse le 28 avril 2015 à Ouagadougou. Objectif : informer l’opinion nationale et internationale sur la 1re édition de consom’acteurs, festival de films sur l’alimentation. Ce festival se tiendra du 1er au 3 mai 2015 à Ouagadougou.

Partout dans le monde la problématique de l’alimentation est réelle. La crise alimentaire de 2007 a montré les limites des populations à répondre convenablement à leurs besoins alimentaires. Ce constat a conduit sans doute l’Association burkinabè des journalistes et communicateurs agricoles (ABJCA) à faire la promotion de l’agriculture. Ladite association organise du 1er au 3 mai 2015 sa 1re édition de « consom’acteurs » qui est un festival de films sur l’alimentation. L’information a été donnée par les organisateurs le 28 avril 2015 à Ouagadougou. Le festival va s’articuler autour de projections de films, de débats, de l’organisation de panels, de partage d’expériences et dégustation de mets locaux. Ce festival vise entre autre, la mise en lumière des enjeux et problématiques alimentaires nutritionnels et agricoles nationaux et globaux ; contribuer à une meilleure valorisation du métier d’agriculteurs ; faciliter la mise en relation entre les acteurs du monde de l’agriculture, etc. pour ABJCA, il s’agit d’inviter la population à consommer local : «  consommons burkinabè pour permettre aux agriculteurs de produire », a laissé entendre Inoussa Maïga, président de l’ABJCA. Cette 1re édition coûtera la coquette somme de 14 millions environs, laquelle somme l’association dit avoir du mal à réunir. L’initiative est appréciée à sa juste valeur par les hommes de médias surtout que nous sommes dans un contexte rythmé par les aliments malpropres à la consommation.

Masbé NDENGAR

« Le rôle des intellectuels n’est pas de participer à la lutte pour le pouvoir. Encore moins de chercher à l’exercer. Leur rôle est, précisément, de se dessaisir autant que possible de tout pouvoir, de renoncer à l’exercice de tout magistère. Il n’est pas d’interpeller qui que ce soit. Il est de se faire, pour une fois, les maîtres de l’ascèse. »

Achille MBEMBE, historien et politologue camerounais in « Le lumpen-radicalisme et autres maladies de la tyrannie », publié dans le MONDE Afrique

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