Le putsch, c’est du temps perdu, je le reconnais ...

DATE DE PUBLICATION : jeudi 16 novembre 2017
THEME : Opinions

« Il faut aller vers la recherche de la paix et de la stabilité et je pense que nous allons y aller. (…) Le putsch, c’est du temps perdu, je le reconnais, des moyens perdus, je le reconnais, c’est des vies humaines de perdues, je le reconnais. »

Général Gilbert Dienderé en septembre 2015 après l’échec de son coup d’Etat

« Le rôle des intellectuels n’est pas de participer à la lutte pour le pouvoir. Encore moins de chercher à l’exercer. Leur rôle est, précisément, de se dessaisir autant que possible de tout pouvoir, de renoncer à l’exercice de tout magistère. Il n’est pas d’interpeller qui que ce soit. Il est de se faire, pour une fois, les maîtres de l’ascèse. »

Achille MBEMBE, historien et politologue camerounais in « Le lumpen-radicalisme et autres maladies de la tyrannie », publié dans le MONDE Afrique

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